• La vidéo est insignifiante.

    Je ne vois pas là une "agression" véritablement mais une de ces épreuves anodines du temps de l'adolescence.

    Le sort de nous tous au quotidien est également fait de ces petites contrariétés et menues injustices. Et même de bien d'autres souffrances autrement plus cinglantes que ces risibles chiquenaudes !

    Pas de quoi faire un fromage de ces trois tapes sur la pommette !

    Cette "agression" est finalement une broutille. Je dirais même que c'est un incident formateur, un événement ordinaire -voire nécessaire- de la post-puberté qui contribue à forger les tempéraments.

    Criminaliser l'apprentissage social de l'âge initiatique est indigne d'une société responsable. C'est vraiment faire une montagne pour des ronds de fumée ! Notre justice n'a-t-elle rien d'autre à faire que de s'emballer pour du vent ?

    Cet incident est réellement inconsistant. La jeune indélicate ayant “giflotté” sa “victime” mériterait même d'être félicitée pour avoir contribué à l’avoir rendue un peu pus forte cette mollassonne pleurnicharde (qui d'ailleurs n'avait pas à regarder de travers cette fille, mais ceci est une autre affaire).

    Cette adolescente ayant reçu trois pichenettes sur la joue en verra d'autres dans le futur, croyons-le bien ! Et souhaitons-lui d'ailleurs longue vie avec toutes les épines édificatrices que cela comporte fatalement...

    S'il fallait avertir la police et les médias à chaque petite adversités de l'existence, les journaux seraient pleins de gros titres du genre "SCANDALE : IL SE COINCE LE PETIT DOIGT DANS SA FERMETURE-ÉCLAIR ET UN PASSANT A RIGOLÉ !"

    Cette société dévirilisée qui s'alarme aussi démesurément pour de telles peccadilles devient décidément de plus en plus infantile !

    Raphaël Zacharie de IZARRA

    VOIR LA VIDEO :

    https://www.youtube.com/watch?v=4AtklEgQRb8&feature=youtu.be

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  • Parmi les êtres les plus délicieux que compte la Terre, il y a ceux que l’on nomme très affectueusement les passeurs d’immigrés clandestins”.

    Ces aimables gentlemen sont des bienfaiteurs de l’Humanité : ils aident les malheureux, les crève-la-faim, les sans espoir, les persécutés de l’économie et autres miséreux au ventre creux n’ayant pas le sou, à rejoindre des horizons pleins de promesses, moyennant de modestes, mais vraiment minimes et même très symboliques sommes d’argent.

    Seulement quelques dizaines de milliers d’euros. Pour atteindre le bonheur, franchement c’est donné !

    Et puis si certains trouvent que ça fait quand même cher payé, moi je leur dis que le nirvana que constitue une vie illégale passée dans les ghettos de nos mégalopoles pour y être courtoisement et régulièrement sollicité par la pègre des quartiers “exotiques”, cela vaut bien le sacrifice de quelques dizaines de milliers d’euros, non ? Heureusement que ces braves passeurs sont là pour apporter un peu de rêve à tous ces pauvres gens fuyant la misère... Cela me fait tellement plaisir de rendre hommage à ces héros qui se lèvent tôt le matin pour donner le meilleur d’eux-mêmes -et de manière si désintéressée-, soit-il en passant...

    Avec les passeurs c’est voyages tout confort et sécurité totale ! Pour la très modique somme évoquée plus haut ils offrent une saine croisière à leurs clients avec tous les avantages du plein air et les vertus d’un régime alimentaire des plus spartiates. Rien de tel pour arriver dans le pays d’accueil avec un moral d’acier ! 

    Les embarqués des galères de plaisance, futurs endettés envers leurs très attentionnés contrebandiers d'humains, redevables de dizaines de milliers d’euros à leur égard, mais uniquement s’ils parviennent vivants à destination de la terre promise occidentale (preuve que les passeurs ne sont pas des requins), leur vouent une reconnaissance éternelle. Une fois parvenus à bon port, les heureux élus survivants travailleront des années et des années pour rembourser la somme symbolique de leur ticket de la traversée de la mer à la rame.

    Et puis ce qui est bien avec les passeurs c’est que si un de ces ingrats de passagers est mécontent du service, allez hop à la mer !

    Ca au moins ce sont de beaux tempéraments les passeurs, des hommes, des vrais, pas des mauviettes qui se laissent marcher sur les pieds ! Ca non alors ! Et puis comment peut-on décevoir des âmes aussi serviables ? Il faut reconnaître qu'ils se montrent parfois contrariants les clandestins...

    En plus ils ont des mines tellement avenantes, les passeurs... Ils inspirent tant de sympathie avec leurs traits empreints de profonde bonté... Sur leurs visages d’ange et dans leurs regards tendres on y lit la bienfaisance, l’altruisme, la compassion...

    Je vous dis tout ça c’est pour en arriver au fait que les passeurs ont partout mauvaise presse, vraiment là moi je ne comprends plus... 

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  • Hétérosexualité, christianisme, machisme, apologie de la noblesse et esthétisme définissent, grosso modo, l’auteur de ces lignes.

    Moi Raphaël Zacharie de IZARRA, petit aristocrate de province conscient de ma valeur et délicieusement imbue de ma personne, et par ailleurs sain d’esprit, suis particulièrement allergique à l’homosexualité masculine, sensible aux chants de messe chrétiens, me pose en défenseur des privilèges de la naissance. Admiratif et respectueux des porteurs de particule, épris de beauté, répugné par le féminisme, je cherche à bien montrer au monde que je suis homophobe, catholique pratiquant, royaliste, anti-avortement, esthète et plume d’exception pour couronner ce tableau qui, reconnaissons-le, ne manque pas de panache...

    L’apologie de l’homosexualité -et l’athéisme républicain qui va souvent avec (que l’on appelle “laïcité”, une invention de mécréants)- me met en révolte.

    La femme, je ne la souffre qu’en posture traditionnelle : en robe longue d’amante onirique ou en tablier de ménagère. Soumise, docile, honnête, éduquée, telle devrait être la femme basique. Le rôle de l’épouse n’est, selon moi, pas de faire de la politique mais de passer la serpillère au foyer.

    Je suis un croisé de la phallocratie, un prophète de la flamme chrétienne ravivée,  le messie de l’anti-homosexualité.

    Je souhaite délivrer notre France de la perversité anti-chrétienne, anti-royaliste et anti-esthétique de ceux qui la souillent, la corrompent et la dénaturent, je veux parler bien entendu des puissants et malfaisants lobbys féministes et sodomites rééduquant la jeunesse selon leurs critères délirants d’inversion des valeurs chrétiennes.

    Ces flammes saintes qui ont fait notre monde, évangile universel de règles et de normes basées sur la vertu, la soumission heureuse aux bienfaisantes lois cosmiques et le bon sens commun.

    Je veux parler de cette adhésion quasi innée à ces décrets célestes ayant édifié nos aïeux dans une âpre et fructueuse probité morale et brûlante ambiance de vérité (aspirations de toute âme décente), ce qui fut leur véritable ciment social et authentique azur spirituel, et érigé nos cathédrales dans la lumière des feux intérieurs.

    Aujourd’hui on ne croit plus en Dieu, on rend un culte fervent à l’homosexualité. On ne respecte plus la Croix, on se prosterne devant le sexe. On ne chante plus le Ciel, on l’outrage dans un républicain éclat de rire général.

    Hétérosexuel, chrétien pratiquant, anti-féministe, contre l’avortement, pour la promotion  du vrai, du bien, du beau, ainsi je me présente, désarmant de vérités oubliées, à l’Humanité.

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  • Verte crinière et mâchoire d’acier, ainsi se présentait, en pleine gloire, la poire de Farrah Fawcett.

    De son seul sourire minéral, elle pétrifiait grenouilles sidérales et mâles esthètes.

    Bonne fée charmant cailloux célestes et astres de la Terre, cette Vénus squelettique rayonnait comme un soleil. Elle avait, quand sa jeunesse la faisait briller, la face carrée et la lèvre haute des femmes inattendues.

    Elle apparaissait maigre et magnétique tel un spectre de l’Olympe.

    La beauté “électrocutante“ de ce papillon carnassier me constipe de fascination et me fait dégueuler mes mots les plus “argilesques”, comme des poteries funéraires.

    Morte, l’ex-Aphrodite aux ailes de marbre et au regard de batracien s’est muée en ineffaçable légende sidérale. Désormais la Voie Lactée coasse son nom et reflète sa chevelure de sable et d’écume.

    Dans la tombe, Farrah Fawcett me fait songer non seulement à l’éternité de l’azur qui renaît chaque matin et à la cendre statufiée des jours ensevelis par les siècles mais également à la rosée qui abreuve le silex et aux ténèbres révélant les étoiles.

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  • Les fachos de Puteaux ont imposé le rose aux petites filles et le bleu aux petits garçons à travers le don de cartables insupportablement “genrés” !

    Un cadeau insultant.

    Ce viol des consciences de nos enfants est intolérable.

    Puisqu’après des siècles et des siècles de regrettables réflexes sexistes la société est enfin devenue normale, égalitaire, équilibrée, à Puteaux les élus auraient dû, en accord avec la mentalité actuelle et selon la nouvelle coutume républicaine en vigueur sur tout le reste du territoire, offrir des cartables roses aux petits porteurs de zizi et bleus aux futures représentantes du féminisme actif...

    Sans aucune exception notre société ne doit admettre à la maternelle que le port de la robe pour les gars et du pantalon pour les demoiselles. Sauf à Puteaux. Là on laisse sévir un noyau d’infâmes réactionnaires entretenant l’imagerie rétrograde des sexes !

    Malheureusement à travers l’affirmation décomplexée de clichés moyenâgeux de la part de la mairie de Puteaux on constate que les plus ignobles stéréotypes sexués subsistent encore en 2014 !

    Ces arriérés de la mairie de Puteaux ont osé la provocation suprême avec leurs cartables roses et bleus, choquant la France entière.

    Devant ce crime odieusement sexiste moi je dis, Puteaux au poteau !


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