• Farrah Fawcett tu étais belle, rayonnante, magnétique, tu es morte, ton sourire est devenu une grimace figée, un crâne au sommet d’un squelette étendu sous la tombe. Tu fus magnifique, tu n'es plus qu'ossements.

    Tu étais un astre, une féminine splendeur, une angélique conception, tes restes sont sous la terre, désagrégés, anéantis après avoir connu la pourriture.

    Tes lèvres étaient l’azur, l’onde, le marbre, elles ne sont plus que poussière, dévorées par le ver de la mort.

    Ton corps est inhumé. Ce qui fut merveille est enterré, détruit, et jamais plus ne reviendra sur Terre. Ta jeunesse fut radieuse, tes yeux étaient comme deux soleils, ou deux lunes, ils sont deux trous noirs et vides sous la stèle. Deux orbites sans vie qui fixent une éternité immobile.

    Dans ce théâtre de la matière les apparences sont cruelles et moi j'ai été fasciné par le fétu de paille emporté dans le mouvement cosmique, par l'empreinte des grands principes sur les choses humbles : l'éveil de la fleur, la fuite des nuages, la fugitivité des vagues, la chute du papillon.

    Tu es morte, ta jeunesse a péri, ton éclat a été détruit, tes charmes ont disparu pour toujours, ensevelis sous le tombeau. La Camarde t’a emportée et j’ignore où tu es... Avec les autres trépassés de la Terre. Avec eux oui, mais je ne sais où...

    Tu incarnais le miracle : tu étais la rose, tu étais le diamant, tu étais le ciel.

    Loin de notre monde, là-bas, tout près des étoiles, de ces autres étoiles dans un firmament différent du nôtre, je te souhaite la lumière, la beauté retrouvée, l’éternité.

    VOIR LA VIDEO :

    http://www.dailymotion.com/video/x2ch0g7_l-astre-est-apparu-et-s-est-eteint-raphael-zacharie-de-izarra_school


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  • Parce qu’elle nous est née d’un régicide, parce que c’est une gueuse -donc une crapule- ayant osé occire le roi -donc Dieu-, parce qu’elle a voulu désacraliser Louis en lui tranchant le col, j’ai la république française en horreur.

    Caution de la populace, raison de la gueusaille, horizon bref de notre patrie déracinée du Ciel, le système égalitaire est totalitaire.

    Sous prétexte d’indistinction Marianne nivèle les richesses humaines, rabaisse le citoyen au rang de clone à l’âme incertaine, alors qu’il était oiseau unique et immortel dans le révolu royaume...

    Le sujet du roi était enfant de Dieu, l’enfant de la république est le sujet de sa dérision.

    Le monarque aimait son peuple de près et de tout coeur, le drapeau tricolore lui destine des honneurs de glace.

    La Couronne était chaude, généreuse, sans calcul et pleine de baisers à l’égard de ses protégés, la république est un fronton sec de silex qui compte ses coups et ses sous.

    J’ai cent autres arguments pour haïr la Révolution et mille encore pour espérer le retour d’une dynastie sur le trône de France.

    Permettez que je ne les dévoile pas tous de peur de fâcher cette dictature douce qui nous oppresse de ses libertés de vices et nous force à vivre avec ses lois mais sans le roi.

    VOIR LES DEUX VIDEOS :

    http://www.dailymotion.com/video/x2c90yd_je-hais-la-republique-raphael-zacharie-de-izarra

    https://www.youtube.com/watch?v=uPAxou2En9Y

    https://www.youtube.com/watch?v=b-JGKN_Pu3c&feature=youtu.be

    http://www.dailymotion.com/video/x2fmyn5_je-hais-la-republique-par-raphael-zacharie-de-izarra_school

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  • J’avais dix ans... Avec le ciel d’été dans les yeux, je respirais le soleil à plein coeur et riais, étourdi de vie, de vent, de rêves et de papillons.

    J’avais dix ans et comme toutes les âmes puériles, dans les nuages je voyais des êtres fabuleux, dans les étoiles des points mystérieux, dans le jardin d’espiègles lutins, chez les adultes des sujets d’interrogations.

    J‘avais dix ans mais j’étais le seul je crois à chercher des mondes infinis dans la lumière.

    Août faisait tout briller sous mon regard. Le mois éblouissant allumait au fond de moi des feux secrets : les visages devenaient transparents, les voix véhiculaient un autre verbe, les gestes les plus anodins clamaient de grandes vérités, j’étais inondé d’amour et derrière ces masques de chair je devinais une radieuse immortalité.

    J’avais dix ans et dans ma jeune existence le quotidien prenait de célestes envergures. Il avait suffit que l’astre estival enflamme mes vacances d’écolier, se reflète sur l’onde, inonde les toits, frappe les fronts autour de moi pour que je prenne conscience de l’immensité de la Création.

    Dès mes jeux d’enfant, je m’éveillais à l’évangile de l’Univers.

    J’avais dix ans et j’étais émerveillé.

    J’avais dix ans et, tel un fétu d’acuité plongé dans le Cosmos, me tenais debout face à l’éternité.

    VOIR LA VIDEO :

    http://www.dailymotion.com/video/x2c9v7v_j-avais-dix-ans-raphael-zacharie-de-izarra_school

    https://www.youtube.com/watch?v=lGiWwMxQaI8

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  • L’argumentation intelligente et posée ayant ses limites lorsqu’on a face à soi des “forces inertes’”, je veux parler de ces masses alourdies, de ces esprits embrumés, de ces sommets de placidité, de ces mouvements léthargiques que sont les GOGOCHISTES englués dans leur courant de mélasse, le doigt d’honneur izarrien a, au moins visuellement, des vertus de résistance voire de persuasion autrement plus fracassantes que les simples mots, aussi sages et doux soient-ils...

    A la molle éloquence du verbe policé je préfère encore le fol éclat du geste enculateur !

    Pour des défenseurs de l’enculage sodomite officialisé en mairie, fervents adeptes de la reconnaissance des unions contre-nature, à travers ce doigt désignant le ciel rouge de leur république rose, je parle un langage universel.

    Dans le cul l’avortement ! Dans le cul le mariage homo ! Dans le cul les socialos !

    Dans le cul les guignolos, les rigolos, les gigolos, les zigotos de gauchos !

    Dans le cul la clique des cloches de la gauche !

    Dans le cul !

    Dans le cul l’avortement ! Dans le cul le mariage homo ! Dans le cul les socialos !

    Dans le cul le féminisme, dans le cul le socialisme, dans le cul les LGBT, dans le cul les GAY PRIDE, dans le cul la république des dégénérés, des détraqués, des pédés et des pédos de gauchistes-progressistes !

    Dans le cul la clique des cloches de la gauche ! Dans le cul les guignolos, les rigolos, les gigolos, les zigotos de gauchos !

    Dans le cul l’avortement ! Dans le cul le mariage homo ! Dans le cul les socialos !

    Face à l’indécence des laudateurs du vice, athées étalés sur le trône de la corruption, moi je dis vive le pouvoir de divine essence !

    Dans le cul la gauche qui ne croit qu’à l’enculage institutionnel de ses citoyens dévirilisés, homosexualisés, transexualisés, lobotomisés et vive le roi, vive la couronne, vive la vertu !

    Raphaël Zacharie de IZARRA

    VOIR LA VIDEO :


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  • L’amour entre deux hommes, personnellement je suis pour.

    Les défenseurs du mariage entre homosexuels ont raison : l’amour n’a pas de sexe.

    Je suis entièrement d’accord avec eux sur ce point. Les hommes sont faits pour s’aimer entre eux et ils doivent en effet s’aimer entre eux. C’est indéniable.

    L’amour entre deux hommes, deux femmes, est possible, souhaitable, et tout comme eux je veux en faire la promotion.

    Sauf qu’il est question ici non pas de vulgaire union conjugale, encore moins d’enculage, mais d’amour au sens large du terme : l’agapè.

    Certains dégénérés homosexuels confondent le fait de s’enfiler avec l’AMOUR.

    Chez eux le même terme est employé pour désigner à la fois la dépravation morale et la plus noble des aspirations de l’âme vertueuse. Pour moi l’amour entre deux hommes n’a rien de choquant. Il n’a rien à voir avec la perversion des moeurs, tout au contraire, l’amour entre deux hommes c’est l’altruisme, c’est à dire l’amour universel.

    Il faut que les mentalités de ce siècle soient bien corrompues pour que les gens confondent à ce point des notions aussi dissemblables... Associer aussi intimement l’homosexualité à l’amour, mélanger le profane et le sacré, prendre la mesure des choses essentielles avec une bite, bref ne pas distinguer la merde de l’or prouve que l’époque est en pleine confusion !

    Moi, tout comme les défenseurs du mariage entre homosexuels, je dis "vive l’amour entre les hommes !"

    Oui mais autant dans l'esprit critique que christique du terme.

    VOIR LA VIDEO :

    https://www.youtube.com/watch?v=bHlil952xaA&feature=youtu.be

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