• “Progressistes” de gauche, ne salissez plus nos enfants ! 

    Cessez de vouloir initier ces âmes pré-pubères, blanches encore, aux sordides réalités de l’homosexualité ! 

    N’introduisez plus ce poison idéologique dés l'école primaire au nom de vos délires d’inversion des valeurs, de vos obsessions déicides, de votre folie égalitariste à vouloir réduire le sacré au néant ! 

    Occupez-vous de leur chanter la beauté de nos saisons, de leur raconter l’Histoire de nos rois, de leur enseigner les richesses de notre langue et le difficile maniement de la plume au lieu de leur scander à longueur d’année la façon d’utiliser un préservatif ! 

    Leur parler de sodomie et de fellation entre garçons, de commerces saphiques, de jeux d’adultes, de moeurs impudiques, leur dévoiler les gestes de la débauche, les éduquer aux pratiques intimes les plus honteuses et leur faire accepter ces déviances comme des normes et même des vertus républicaines, des joyaux de leur vie future, voilà l’infamie de ce siècle !

    Embrigader cette génération (que vous avez également rendue quasi analphabète) avec vos perversités est un crime de longue portée, une abomination à l’échelle d’une civilisation, et vous devrez en payer l’âpre prix, vous les esprits corrompus, décadents, dégradés qui avez enraciné l’ivraie homosexuelle dans les coeurs vierges. En déréglant la conscience de nos jeunes vous avez ébranlé le Ciel et la Terre : la moisson sera pire que simplement stérile, elle sera puante.

    Corrupteurs de la sainte innocence je vous accuse, vous juge et vous condamne !

    Non l’apprentissage homosexuel de notre jeunesse ne doit pas devenir un programme scolaire. Non plus hétérosexuel d'ailleurs.

    La sexualité est affaire strictement confidentielle. Elle doit demeurer secrète, mystérieuse, taboue. Elle est faite pour être découverte dans la peur et l’ivresse, l’effroi et l’enchantement, entre frisson et émerveillement, glace et feu, crépuscule et clarté lunaire, messe basse et cri dans la nuit : c’est ce qui en fait sa spécificité, sa force, son éclat et sa magie. 

    Nul n’a le droit de violer ce sanctuaire en le rationalisant.

    L’expérience amoureuse est une flamme pure, les précepteurs de gauche veulent en faire une planification académique pleine d’obscénités.

    Moi je revendique pour la gent puérile le droit à l’ignorance de toutes ces choses qui ne la concerne nullement. A l’inverse de ce qui se fait, je prône la préservation de sa candeur dans la fraicheur et l’honnêteté d’une éducation saine, rigoureuse, traditionnelle. 

    La juvénile population ne doit pas être projetée dans cet univers d’activités charnelles qui n’est pas le sien. Au contraire, le maintien de l’âge tendre dans sa pureté originelle devrait aller de soi pour tout être sensé et responsable. L’apologie des glauques égarements est bien la dernière chose que l’on devrait être en droit d’attendre de la part de l’Education Nationale à l’égard de ces ingénus dont elle a la charge ! 

    Depuis toujours et selon les aspirations naturelles de tout parent équilibré, vertu et pudeur -et non vice et inconduite- préparent l’enfance à la vie.

    C’est dans cet autel de décence qu’ont été moulés nos respectables grands-parents et ceux qui veulent le briser avec horreur et mépris sous prétexte qu’il heurte leur sensibilité de pervers, tel un soleil régénérateur je leur crache ma lumière rédemptrice en pleine face en espérant que ma brûlure amènera ces misérables dégénérés à résipiscence. Et s’ils persistent dans leur abject outrage des lois suprêmes, je leur destinerai le fruit ironique de leur hérésie : de la merde à l’état brut.


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  • Brandir une pancarte "JE SUIS CHARLIE" est un geste mimétique bête et irresponsable à la portée du premier mouton venu. 

    C'est à dire à la portée, entre autres victimes de l'insidieux embrigadement gauchiste, des jeunes idéalistes primaires défendant un humanisme de surface, d'émotivité, voire de sensiblerie et non de fond. 

    Bref, arborer un panneau "JE SUIS CHARLIE" est une réaction d'une grande puérilité humaine et d'une parfaite immaturité politique... C'est exactement comme le fait d'arborer les portraits du CHE GUEVARA ou de RIMBAUD qu'on trouve esthétiques : adoptions naïves d'idéologies induites par des apparences flatteuses (combattants photogéniques = cause juste). 

    Plus méritoire, plus digne, plus pertinent, moins superficiel est d'avoir le courage de réfléchir, de garder une indépendance de pensée, d'oser l'esprit critique, au lieu de bêler en choeur avec la masse docile sur des slogans pré-mâchés qui sous-entendent une vaste manipulation collective.

    Ce que je dis là est pourtant d'une extrême banalité, une chose allant de soi, je ne comprends pas que je doive rappeler cette évidence à mes compatriotes. Comment en est-on arrivé à un tel degré d'abrutissement des foules françaises ?


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  • En réalité ce qu’on appelle “éclipse” est purement subjectif, c’est un pur concept humain.

    Une éclipse est toujours conçue par rapport à la position d’un observateur. Une éclipse, humainement parlant, est toujours contextuelle.

    En fait elle existe en dehors de nous, 24 heure sur 24 pour chaque astre éclairé par son étoile.

    Dés qu'il y a un système solaire, il y a éclipses permanentes, éternelles, pour toute matière éclairée par son soleil ou par d’autres sources lumineuses.

    Une éclipse en réalité ce n’est une notion valable que pour l’observateur qui l’appelle ainsi parce qu’il en est le témoin furtif.

    Pour lui l’ombre de la Lune projetée contre la Terre est rare est éphémère. Alors que cette ombre, elle est intrinsèquement liée à la Lune, de même en ce qui concerne chaque astre, chaque hôte sidéral de chaque système solaire. Certes les ombres ne sont pas systématiquement projetées contre d’autres astres mais elles existent en permanence et potentiellement elles peuvent se projeter sur tout observateur qui viendrait au bon endroit.

    Tout n‘étant qu’une question de positionnement de celui qui observe cette ombre, qui en est le témoin. Une éclipse, on peut parfaitement la créer soi-même en allant “la chercher” si je puis dire : il suffit de se positionner sur une ligne droite derrière la Lune et le Soleil. Techniquement difficile à réaliser mais parfaitement valable dans le principe.

    Une éclipse n’est pas autre chose qu’un phénomène abstrait induit par une position spatiale entre des éléments et un observateur.

    Les éclipses n’existent donc pas, dans l’absolu.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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  • Lorsque j’ai croisé pour la première fois vos yeux de mouche verte, mon coeur dur comme le roc s’est mit à fondre.

    Remarquez que j’aurais pu également vous comparer à une grenouille ou à un lézard, fort banalement... Mais à bien y réfléchir, je préfère encore arracher vos ailes de pondeuse d’asticots. Et finalement les flasques invertébrés évoquent plus finement vos os saillants et manières anguleuses !

    Ils étaient beaux comme deux mollusques figés donc, ces yeux qui me fixaient d’un air ahuri. Ils bavaient des larmes d’hypocrites et je les trouvais encore plus délicieusement répugnants, baignant ainsi dans cette fausse douleur qui vous donnait un air de tragédienne visqueuse.

    Le reste de votre personne était tout aussi escargotiquement exquis.

    Mademoiselle, en posant le regard sur vos grâces mortelles j’ai eu la fièvre, moi qui avant cela n’étais qu’un silex de froideur. 

    En succombant à votre charme gluant, je suis devenu meilleur : hier je tranchais, aujourd’hui je chante.

    Il me brûle de baiser vos lèvres, de pouvoir considérer de très près vos globes oculaires roulant telles deux lunes acides au fond de leurs mauves orbites. Et que dire de vos appas ? Ils me terrifient, me hantent et attisent ma scientifique curiosité d’anatomiste amateur. 

    En vous il y a un mélange de fraiche limace filante et de vieille banane écrasée. Une subtile alchimie dégageant un parfum brutal et beau à faire perdre bien des têtes...

    Bref, je demande votre pied mademoiselle car même lui, il sent bon le fromage de notre France.


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  • Le vrai problème avec ceux qu’on prétend “pauvres” en France, autrement dit avec cette minorité de tricheurs, de geignards, de fausses victimes de notre système, c’est précisément qu’il s’agit d’une minorité.  Qui plus est une minorité voyante, malodorante même, explosive en termes médiatiques.

    C’est à dire une petite partie de la population française devant laquelle l’extrême majorité des gens bien éduqués, proprement vêtus et sachant se nourrir de manière saine et équilibrée devrait se sentir obligée de faire allégeance selon les défenseurs de la pensée victimaire. Cette prise en otage idéologique des “gens bien” par cette frange de “gens pas bien”, c’est cela la véritable injustice, le réel scandale de la prétendue pauvreté !

    Comme si les masses écrasantes de citoyens rangés, lancés à pleine vitesse dans la vie, toutes voiles déployées, le cap vers de brillantes destinations, en pleine ascension personnelle devaient impérieusement, au nom de cette idée dévoyée de la justice, se détourner de leurs centres d’intérêts, freiner leur course, altérer leur vol pour mettre leur nez dans les haillons moraux des traîne-savates...

    Certains “humanistes” voudraient instaurer la dictature des perdants en France. Faire ployer tout un peuple fier, fort et responsable devant les pressions navrantes de ces pitoyables revendicateurs...

    C’est exactement le contraire qui devrait se produire.

    Ce sont ces “exclus sociaux” qui devraient rendre grâces aux gens bien insérés, socialement élevés, avantageusement fortunés pour les bienfaits dont eux, les soi-disant “malheureux”, bénéficient.

    Grâce aux efforts de ceux qu’ils désignent comme leurs ennemis, grâce à leur générosité érigée en principe étatique, universel, même en bas de l’échelle sociale ils sont encore en haut de l’échelle humaine. Mais ne veulent pas le reconnaître. Ces ingrats repus refusent de se satisfaire de leur niveau de vie très acceptable : ils réclament le luxe.

    Pour se considérer comme un “crève-la-faim” en France en 2015, il faut vraiment le faire exprès ou alors être le plus grand des imposteurs (et donc être très vicieux) : il est matériellement, socialement, alimentairement impossible de souffrir de la faim dans notre pays de cocagne.

    Je ne veux pas vivre dans un pays de limaces qui au nom du règne de la pensée aseptisée si chère à certains idéalistes du dimanche ramperaient devant quelques tendeurs de sébiles. Je ne veux pas faire partie d’un peuple éclairé ayant accédé à un haut niveau de vie qui se mettrait à défendre soudainement les valeurs d’une poignée de SDF asociaux souhaitant devenir le centre du monde, prôner leur sens de la justice à eux... C’est à dire appauvrir les honnêtes gens à leur profit.

    Les SDF et autres éléments de la société du même acabit parfaitement secondaires ne sont pas le nombril de l’Univers et ne doivent surtout pas le devenir ! La faiblesse, la pleurnicherie, la crasse physique et morale ne doivent pas être érigées en modèle mais être considérées comme de véritables déchets. On ne doit pas chérir la peste mais la combattre, la mépriser, l’éradiquer.

    Eloigner ces gémisseurs professionnels de nos centres d’intérêt (et accessoirement de nos centres-villes) ce n’est pas de l’iniquité, c’est une simple question de bon sens.


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